M. Gerry Byrne: Monsieur le Président, ce qui fait cruellement défaut, dans la question du député, c'est un petit rappel du fait que, si le Parti réformiste avait pu imposer ses idées, si les Canadiens lui avaient démocratiquement confié les rênes du pouvoir, il ne s'agirait pas de retirer des milliards aux services de santé.
Mr. Gerry Byrne: Mr. Speaker, what is painfully left out of the hon. member's question is the fact that if the Reform Party had its way, if Canadians actually let it in through the democratic process, it would not be a question of cutting billions of dollars out of health care.