À l'heure actuelle, les compagnies canadiennes peuvent aller librement chercher des capitaux à l'étranger, sous forme de prêts ou sous forme d'actions sans droit de vote, à condition qu'elles n'enfreignent pas le principe qui exige que le contrôle demeure entre les mains de Canadiens.
As the present time, Canadian companies are free to raise capital outside Canada, either by way of loan or by way of non-voting shares, as long as they do not breach the requirement that control be in the hands of Canadians.