Le point de départ de ce débat est la volonté de faire supporter au secteur financier une partie des coûts de la crise et de veiller à ce qu'il soit taxé équitablement par rapport aux autres secteurs, de dissuader les établissements financiers de prendre des risques excessifs, de compléter les mesures réglementaires destinées à prévenir de nouvelles crises et de créer des recettes supplémentaires pour financer tant le budget général, notamment sous forme de contribution
à l'assainissement budgétaire afin de doper la croissance et de générer des emplois,
que les politiques spécifiques ...[+++], surtout celles dédiées à l'aide au développement et à la lutte contre le changement climatique.
This debate stems from the desire to ensure the financial sector contribute to covering the costs of the crisis and that it is taxed in a fair way vis-à-vis other sectors for the future; to dis-incentivise excessively risky activities by financial institutions; to complement regulatory measures aimed at avoiding future crises and to generate additional revenue for general budgets, inter alia as a contribution to fiscal consolidation, in order to stimulate growth and create jobs, or for specific policy purposes, such as development aid and fighting climate change.