À l'époque de la commission Laurendeau-Dunton, lorsque la ré
alité de la zone de bilinguisme a été reconnue pour la première fois, il est simplement devenu clair, avec le temps et les informations accumulées à l'extérieur du Québec, que ce n'est qu'à l'intérieur de cette zone — dans les régions du Nouveau-Brunswick et de l'Ontario — que le niveau de maintien du français comme principale langue d'usage à la maison demeure raisonnablement élevé, que les francophones cons
ervent une identité suffisamment distincte, et que parler français a
...[+++]u travail présente encore suffisamment d'avantages.
At the time of the Laurendeau-Dunton commission, when the reality of the bilingual belt was first recognized, it has simply become clearer, with the passage of time and the accumulation of evidence outside Quebec, that it is only within the bilingual belt regions of New Brunswick and Ontario that the retention of French as the main home language remains reasonably high, that francophones retain a sufficiently distinct identity, and that French still pays off enough in the workplace.