Si ces stratégies de rechange, cette lutte culturale, comme on l'appelle, ou ces pratiques de prévention peuvent donner les mêmes résultats que le produit chimique, a-t-on vraiment besoin du produit chimique sur le marché, étant donné les conséquences négatives qui peuvent être associées au permis pour un tel produit?
If those alternatives, if those cultural controls, as they're called, or those prevention practices can deliver what the chemical product can deliver, is there actually a need for the chemical product to be on the market, given the kinds of negative consequences that may be associated with its licensing?