Il n'est pas nécessaire de remonter très loin dans le temps pour constater que, depuis les changements apportés à la Loi sur les langues officielles en 1988, le gouvernement du Canada et ses instituti
ons ont toujours eu beaucoup de difficulté à saisir lers obligations et leurs devoirs que leur dicte la partie VII. B
eaucoup ont cru, et croient encore, que la responsabilité ultime de cette partie échoit au ministère du Patrimoine canadien, et ce pour la simple et bonne raison que ce ministère joue un rôle de coordi
...[+++]nation en vertu de l'article 42 et qu'il est aussi un acteur d'avant-plan en matière de promotion.
It is not necessary to go back very far in time to know that following amendments made to the Official Languages Act in 1988, the Government of Canada and its institutions have always had a great deal of difficulty living up to their obligations and duties under part VII. Many have believed, and still believe, that the ultimate responsibility for part VII falls to the Department of Canadian Heritage for the simple reason that this department is responsible for coordination pursuant to section 42, and plays a prominent role with respect to promotion.