Une analyse antérieure (2002) de
la maltraitance des aînés autochtones définissait les « aînés » comme des personnes âgées de 55 ans et plus. Cette définition tient compte du fait que, comparativement à la population générale, les Autochtones du Canada tendent à avoir une espérance de vie plus courte et à devenir dépendants à un plus jeune âge 10. L’analyse fait référence à des études menées auparavant, selon lesquelles les aînés et les femmes autochtones sont plus susceptibles d’avoir subi des sévices que les aînés et les femmes de l’ensemble de la population canadienne parce que, d’une part, le taux de violence dans les réserves est pl
...[+++]us élevé qu’à l’extérieur des réserves et, d’autre part, la plus grande proportion des aînés autochtones vit dans les réserves 11.
An early analysis (2002) of abuse of older Aboriginal people defined “elders” as people 55 and over, taking into account the fact that, compared with the general population, Aboriginal Canadians have a shorter life expectancy and tend to become dependent at a younger age.10 Earlier studies are cited that make the case that Aboriginal elders and Aboriginal women were more likely to have experienced abuse than their counterparts in the Canadian population as a whole, because there are higher levels of violence on-reserve than off-reserve and the greater proportion of Aboriginal seniors live on-reserve rather than off-reserve.11