La déclaration faite cette semaine par le président Lukashenko à propos de l’amélioration des relations entre le Belarus et la Russie - «Nous n’avons besoin ni d’inspecteurs, ni de superviseurs, ni de professeurs!» - est un signe que l’Union européenne doit non seulement surveiller attentivement la situation, mais aussi accroître son soutien aux initiatives de la société civile et de l’opposition au Belarus.
This week’s comment by President Lukashenko, speaking about the improvement of relations between Belarus and Russia – ‘We don’t need inspectors, supervisors or teachers!’ – is a signal that the European Union should not only carefully monitor the situation but also increase support for activities by civil society and the opposition in Belarus.