Au mois d'août 1999, dans les jours qui ont suivi le meurtre de Jaime Garzon, qui était un important journaliste satirique colombien, une liste de noms de personnes à assassiner, plus de 20 civils de différentes professions associés au mouvement de paix, a circulé dans Bogota.
In August 1999, in the days following the murder of Jaime Garzon, who was a leading Colombian journalist and satirist, a death list was circulated in Bogatá threatening the lives of over 20 civilians from different professions associated with the search for peace.