Je ne vous en parle pas pour me plaindre, mais pour dire que si c'est arrivé à un colonel, qui était conseiller spécial sur les blessures de stress opérationnel, que le médecin-chef connaissait et que les gens d'Anciens Combattants Canada connaissaient, imaginez ce que peut vivre un caporal de Valcartier ou de Petawawa, que personne ne connaît et qui est libéré pour des raisons médicales.
I share this with you not to complain, making the point that if it happened to a colonel, who was the OSI special adviser, who the surgeon general knew and who Veterans Affairs Canada knew, imagine the corporal from Valcartier or Petawawa who is being medically released today, who doesn't know anybody.