D'ajouter M. Spicer: «Il ne suffit pas de défendre aveuglément jusqu'à la dernière brique, jusqu'au dernier amplificateur, jusqu'au dernier emploi ou jusqu'au dernier crédit budgétaire pour le seul plaisir de le faire, tout en refusant d'admettre que la Société Radio-Canada doit changer».
Spicer continued: ``It's not just good enough to blindly defend every last brick, every single amplifier, every last job, or every last budget dollar for its own sake to refuse to admit that CBC can and must change''.