Le Conseil est encore tro
p politisé et notre allocution d'aujourd'hui critique
très justement ces délégués qui, cyniquement, ont fait la queue dans leur voiture à l'extérieur de l'ONU à Genève dès 6 heures du matin afin d'être les premiers à s'inscrire sur la liste des intervenants pour soutenir la motion de «non action» du Sri Lanka
visant à éviter les critiques des violations dans ce pays et à contourner l'es
...[+++]prit gouvernant le Conseil des droits de l'homme, à savoir travailler toute l'année pour résoudre les abus des droits de l'homme chaque fois et partout où ils se produisent.