Deuxièmement, si nous allons vendre à l'échelle internationale, et c'est le cas—le pays enregistre plus de 20 milliards de dollars en commerce agroalimentaire—et si nous allons continuer d'augmenter notre commerce mondial, et je suppose que c'est ce que nous voulons faire, et notre industrie veut en faire partie, ce ne seront pas forcément les consommateurs canadiens, mais peut-être les consommateurs de nos partenaires commerciaux qui vont exiger cela.
Secondly, if we're going to be world traders, as we are—we do in excess of $20 billion of agrifood trade out of this country—and if we're going to continue to see that grow, which I assume we want to do, and our industry wants to be part of, it won't necessarily be the Canadian consumer but our trading partners' consumers that will demand that as well.