Les travailleurs oeuvrant dans des secteurs sous l'égide du Code canadien du travail, comme les secteurs des télécommunications — on pense aux travailleurs dans le domaine de l'Internet, aux câblodistributeurs, à la téléphonie cellulaire —, des banques, des ports, des ponts, des aéroports ou de Postes Canada, qui constituent environ 8 p. 100 de la main-d'oeuvre québécoise, sont donc dans une position défavorable lorsqu'ils doivent négocier avec leur employeur et, par conséquent, sont entraînés dans des grèves plus longues.
Workers in industries that are governed by the Canada Labour Code, such as telecommunications—workers in Internet businesses, cable companies and cell phone companies—and banks, ports, bridges, airports or Canada Post, who make up about 8% of the Quebec labour force, are therefore at a disadvantage when they have to bargain with their employer, and as a result they get dragged into longer strikes.