Non seulement cette disposition contrevient de façon flagrante à la Convention des Nations Unies relative au statut des réfugiés puisqu'elle priverait les réfugiés du droit de s'intégrer à une société et d'obtenir leur citoyenneté, mais, en plus, elle constitue un acte cruel de la part d'un gouvernement qui dit à ceux qui ont surmonté des épreuves extrêmement difficiles: « Vous pouvez rester dans notre pays et y travailler pour subvenir à vos besoins et à ceux de votre famille, payer des impôts et contribuer à la société, mais nous pouvons vous expulser quand bon nous semble.
Not only is this provision a clear violation of the United Nations Convention relating to the Status of Refugees as it refuses the right to assimilation and naturalization, but it is the cruel act of a government saying to someone who has already endured significant hardship, “You can stay and work to support yourself and your family and pay taxes and contribute to society, but at any moment we can decide to send you home if we feel like it. Also, by the way, you cannot leave, or you have to stay out”.