M. Norton a indiqué que les ressources financières de l’ACCCDP sont très limitées – au point où elle compte, dans ses interventions dans les litiges sur les droits de la personne, sur des conseillers juridiques qui travaillent bénévolement.[52] L’actuel président de l’ACCCDP, M. Harinder Mahil de la Commission des droits de la personne de la Colombie-Britannique, a fortement recommandé que l’organisation obtiennent des divers gouvernements des ressources et des rôles précis.[53] Précisons que, au moins pour ce qui est de la Commission canadienne des droits de la personne, cette dernière est oblig
ée par la loi de se tenir « en liaison étroit ...[+++]e avec les organismes ou les autorités provinciales de même nature pour favoriser l'adoption de lignes de conduite communes ».[54]Mr. Norton indicated that CASHRA’s financial resources are very limited – to the point where, in its interventions in key human rights litigation, it is relying on legal counsel working on a pro bono basis.[52] The current President of CASHRA, Harinder Mahil of the B.C. Human Rights Commission, also strongly urged that the organization be given specific roles and resources by the various governments.[53] It should be noted that, at least with respect to the Canadian Human Rights Commission, there is a statutory obligation for the Commission
“to maintain close liaison with similar bodies or authorities in the provinces in order to foster
...[+++]common policies and practices”. [54]