En effet, en considérant que la combinaison de forme et de couleur de la marque demandée n’était pas i
nhabituelle dans le commerce, la chambre de recours a fondé son analyse, en subst
ance, sur des faits résultant de l’expérience pratique généralement acquise de la c
ommercialisation de produits de consommation générale, tels que les bonbons ou les caramels, lesquels faits sont susceptibles d’être connus de toute personne et sont, no
...[+++]tamment, connus des consommateurs de ces produits [.]»