La production de la zone euro atteignait 90 % du PIB par habitant des États-Unis en 1980, mais s’établit actuellement à environ 70 % et, pour plusieurs économies de la zone euro, à moins de 60 %[16]. On estime souvent que des réformes des marchés des produits, des services et du travail qui sont bien calibrées et adaptées aux besoins de l'économie sont susceptibles de générer des gains de productivité importants à long terme.
Euro area output reached 90% of US per capita GDP in 1980 but now stands at around 70% and for several Euro area economies at less than 60%.[16] It is often estimated that reforms in the product, services and labour markets that are well calibrated and sequenced to the needs of the economy, have the potential to trigger significant productivity gains in the long term.