7. invite le gouvernement kirghize et les autorités locales à maintenir leur frontière ouverte, à s'abstenir de refouler les réfugiés et éviter ainsi aux réfugiés contraints au retour le risque de subir des mauvais traitements, voire des tortures; leur demande, dès lors, instamment de ne pas échanger d'informations sur les réfugiés avec les autorités ouzbèkes, et leur rappelle, enfin, les obligations qui leur incombent en vertu de la convention des Nations unies sur les réfugiés de 1951;
7. Calls on the Kyrgyz Government and local authorities to keep the border open and prevent all refoulement of refugees and the likelihood of ill-treatment or even torture of any refugees forced to return; urges them therefore not to share information about refugees with the Uzbek authorities; reminds them of their obligations under the 1951 UN Convention on Refugees;