En 2004, les Canadiens ont dépensé environ 13,8 milliards de dollars pour l’achat de boissons alcoolisées, alors qu'ils n'allouaient que 14,1 milliards $ à leurs forces armées9. Bien que la bière et le vin puissent les aider à oublier qu'ils ne sont pas correctement protégés, leur réveil risque d'être brutal si nous continuons à faire faux bond à nos forces de défense.
In 2004, Canadians spent an estimated $16.1 billion on alcoholic beverages, in comparison to the $14.1 billion they spent on their armed forces.[9] While beer and wine may help Canadians forget that they are inadequately protected, we risk a sober and somber awakening by continuing to let our defences down.