Convient-il au secteur, qui, plus entreprenant que les parties en négociations elles-mêmes, va au Maroc et vérifie que ce qui est impossible pour Bruxelles est possible pour eux : parler directement avec les Marocains, établir de bons contacts, des principes d’entente commerciale, industrielle et de pêche ?
Does it benefit a sector which, more enterprising than the negotiators themselves, is going to Morocco and seeing that what is impossible for Brussels is possible for them: speaking directly to the Moroccans, establishing close contacts, principles of trade, industrial and fisheries agreements?