L'arrêt rendu dans l’affaire C-534/11 (Arslan), qui concerne l
a relation entre la rétention liée au retour et la rétention liée à l’asile (au titre de la directive 2003/9), a précisé que l
’existence des deux régimes différents n’impose pas aux États membres l'obligation de remettre automatiquement en liberté les personnes faisant l'objet d'une mesure de retour une fois qu’elles introduisent une demande d’asile, pour autant que les États prennent rapidement la décisi
on, conformément au droit ...[+++] national, de poursuivre la rétention en conformité avec l’acquis en matière d’asile.