Je voudrais souligner deux aspects de ce problème : d'une part, dans nos pays, l'on a du mal à intégrer la sauvegarde de l'environnement dans la
conception même des diverses politiques sectorielles et l'on continue, au contraire, à la considérer comme une série d'actions à entreprendre a posteriori , pour réparer un év
entuel dommage ; d'autre part, justement à cause de cette approche a posteriori, les coûts de l'application des directives sont souvent ressentis comme trop élevés et dépourvus d'utilité véritable, ceci étant dû aussi à
...[+++] la faiblesse des moyens mis à disposition par les États membres.