De nombreux parents adoptifs et enfants adoptifs ont eu l’impression, au cours des années, qu’ils étaient des citoyens de deuxième classe, que leur famille et eux-mêmes ne valaient pas autant que les autres parce qu’ils n’avaient pas droit automatiquement à la citoyenneté comme les enfants nés au Canada.
This points out what many adoptive parents and adoptive children have felt over the years, that they are somehow second-class citizens, that they and their families are somehow second-class because they were not afforded the same automatic citizenship that children born to Canadians were.