Given the rise in state sponsored violence which seems likely to occur in the run-up to the March 31 Zimbabwean elections, Foreign Affairs must abandon its hands-off approach to human rights and appoint a special representative to Zimbabwe.
Étant donné le risque d'une flambée de violence appuyée par l'État à l'approche des élections du 31 mars au Zimbabwe, le ministère des Affaires étrangères doit abandonner son approche passive à l'égard des droits de la personne et désigner un représentant spécial au Zimbabwe.