And yet, if one year ago the international community had not reneged on its commitment to democracy in Palestine, if we had not refused dialogue with Hamas moderates and suspended direct aid payments to a freely elected government, the situation would not be as bad as it is today.
Et pourtant, si, il y a un an, la communauté internationale n'avait pas manqué à sa promesse de démocratie en Palestine, si nous n'avions pas refusé le dialogue avec les modérés du Hamas et suspendu le versement des aides directes à un gouvernement élu librement, nous n'en serions pas là aujourd'hui.