What does the justice minister propose not to say but to do for Melanie Carpenter's father and all of the victims of violence who feel that in Canada the state, the law, the government, the parole board and the justice system have failed them in a tragic and fundamental way?
Ma question s'adresse au ministre de la Justice. Que se propose-t-il non pas de dire, mais de faire pour le père de Melanie Carpenter et toutes les victimes de violence qui estiment que, au Canada, l'État, le droit, le gouvernement, la Commission nationale des libérations conditionnelles et le système de justice les ont laissés tomber de façon tragique?