It is, of course, completely obvious – we will be pointing this out in the resolution on the death of Anna Politkovskaya – that it is not possible to describe today’s Russia, where journalists have to fear for their lives if they air grievances about their country, as a functioning democracy.
Il est on ne peut plus évident, ainsi que nous le soulignons dans la résolution sur la mort d’Anna Politkovskaïa, que la Russie actuelle, dans laquelle les journalistes critiquent leur pays au péril de leur vie, ne peut être considérée comme une démocratie en bon état de marche.