[116] L'étude mentionne que «la possibilité donnée aux États membres d'adopter ou de maintenir des mesures pl
us restrictives que celles définies par la directive leur offre la souplesse nécessaire pour s'attaquer aux pratiques commerciales (déloyales) nouvelles adoptées en réaction aux spécificités de la lé
gislation nationale dans les domaines des services financiers et des biens immobiliers, et [que] la suppression de l’article 3, paragraphe 9, nuirait à des dispositifs de contrôle qui fonctionnent bien et, partant, affaiblirait la p
...[+++]rotection des consommateurs».