Some may criticize this initiative as having a limited impact on the business practices of providers of Internet services, who already voluntarily report cases of online child pornography, and in fact, it is true that Bill C-22 was drafted in a way that closely mirrors the current practices of Canada's ISPs.
Certains peuvent reprocher à cette initiative d’avoir un effet limité sur les pratiques commerciales des fournisseurs de services Internet qui dénoncent déjà volontairement les cas de pornographie juvénile en ligne et, en fait, il est vrai que le projet de loi C-22 a été libellé de façon à refléter étroitement les pratiques actuelles des FAI canadiens.