32. Notes that OLAF does not possess suitable information on the quantities of incriminated products, while undertaking the inquiries in a criminal law context has proved disastrous from the viewpoint of recovery, even if it is true that in strictly legal terms OLAF is entitled, on behalf of the Commission, to contest a national decision;
32. constate que l'OLAF ne dispose pas des informations idoines sur les quantités de produits incriminés, alors que la criminalisation des enquêtes est apparue comme désastreuse du point de vue des recouvrements, même s'il est vrai que l'OLAF, juridiquement, au nom de la Commission, pourrait contester une décision nationale,