If that is the honourable senator's view, why not adopt the jurisdiction of the U.S. Securities and Exchange Commission and do away with our own domestic regulation completely if one big regulator is the answer for North American efficiency, which I believe to be at least a part of the construct he is suggesting?
Si tel est le point de vue du sénateur, si un seul grand organe de réglementation est la solution pour favoriser l'efficacité à l'échelle de l'Amérique du Nord — ce qui, je crois, fait partie du modèle que le sénateur propose — pourquoi les marchés financiers canadiens ne se mettraient-ils pas à relever de la U.S. Securities and Exchange Commission et pourquoi n'abandonnerions-nous pas complètement notre propre réglementation nationale?