The hunger strike in Turkish prisons – I myself spoke a short time ago with prisoners, their families and lawyers and a range of politicians when I travelled as part of a delegation to Istanbul – is an expression of a conflict which should belong to the past and which it will not be possible to solve until Turkey no longer opposes cultural, ethnic and political pluralism but instead uses these as a positive force in the development of a Turkish democracy.
Les grèves de la faim menées dans les prisons turques - j'ai personnellement parlé avec des prisonniers, leurs familles, leurs avocats et plusieurs politiciens lors d'un récent voyage à Istanbul dans le cadre d'une délégation parlementaire - sont le reflet d'un conflit qui doit appartenir au passé et qui ne pourra être résolu que lorsque la Turquie ne luttera plus contre le pluralisme culturel, ethnique et politique, mais, au contraire, en tirera profit dans le but de développer une démocratie turque.