Being unable to rely on the people in the wake of the French and Dutch referenda, the supranational institutions of the Union seem to have embarked on a quest, outside the Treaties, to gradually seize the Member States’ powers, following the example of the landmark ruling pronounced on 13 September 2005 by the Court of Justice, which precisely authorises the Commission to legislate on criminal matters.
Faute de pouvoir compter sur les peuples après les référendums Français et Néerlandais, les institutions supranationales de l’Union semblent se lancer, hors des Traités, dans une appropriation progressive des compétences des États-membres, à l’instar de l’arrêt de principe rendu le 13 septembre 2005 par la Cour de Justice qui autorise précisément la Commission a légiférer en matière pénale.