Since that vote, there has been no end to the provocations on the part of the Turks. The brutal repression by the police during the demonstration of women on 8 March 2005, the denial of the Armenian genocide, the attitude towards the Kurdish people and the non-recognition of Cyprus lead me to vote against the start of the negotiations.
Depuis ce vote, les provocations de la part des Turcs n’ont pas cessé: La répression brutale de la police lors de la manifestation des femmes (8 mars 2005), la négation du génocide arménien, l’attitude à l’égard des Kurdes et la non-reconnaissance de Chypre m’amène à voter contre le début des négociations.