We must do this not only in line with basic humanitarian principles and out of solidarity, but also – and quickly – because we know that Mozambique is one of the poorest countries in the world. This means that its resources for coping with the tragedy and then setting about reconstruction are practically non-existent.
Nous devons le faire non seulement au nom des règles humanitaires élémentaires et de la solidarité, mais aussi - et vite - parce que nous savons que le Mozambique est l'un des pays les plus pauvres du monde, ce qui signifie que les moyens dont il dispose pour faire face à cette tragédie et, ensuite, promouvoir la reconstruction sont pratiquement inexistants.