A project of this kind can only succeed through debt relief, which cannot be reduced to a process that is merely full of good intentions, as recommended by the G7 countries, whose contribution represents no more than 1% of Third World debt and which is today limited in practice to partial debt relief for just three or four countries.
Ce projet ne peut passer que par l'annulation de la dette, qui ne peut se limiter à un simple processus d'intention, tel que celui préconisé par le G7, dont la portée ne dépasse pas 1 % de la dette du tiers monde et qui se limite aujourd'hui objectivement à la réduction partielle de la dette de trois ou quatre pays seulement.