If you institutionalize, through a lead director or a Chairman, a process for meeting that does not threaten anyone, and it was not done on an ad hoc basis, then I would never suggest that it be written into law, but it would be worth considering as an additional guideline.
Si vous institutionnalisez, par l'entremise d'un directeur principal ou d'un président, un processus de réunion qui ne menace pas quiconque, et qui ne se fait pas de façon ponctuelle, alors jamais je ne suggérerais de l'enchâsser dans la loi, mais il pourrait être utile d'envisager une ligne directrice supplémentaire.