Vertaling van "then-alberta minister " (Engels → Frans) :

TERMINOLOGIE

Minister responsible for the Alberta Liquor Control Board
Minister responsible for the Alberta Liquor Control Board

Minister responsible for Northern Alberta Development Council
Minister responsible for Northern Alberta Development Council

IN-CONTEXT TRANSLATIONS

Then-Alberta Minister of Justice Verlyn Olson opened the symposium saying:
Le ministre albertain de la Justice de l'époque, Verlyn Olson, a ouvert le symposium en faisant la déclaration suivante :

I shared the strongly-held view with the then Alberta minister that reforms to the transportation system and the removal of the Crow should have coincided and taken place at the same time.
Je partageais alors l'opinion du ministre de l'Alberta en place à ce moment-là et j'étais convaincu que la réforme du système de transport et l'abandon de ce programme compensatoire auraient dû coïncider.

Mr. Speaker, we know that last fall Bruce Carson introduced his fiancée to the then environment minister, Jim Prentice; to the former human resources minister, Monte Solberg; and even to the Premier of Alberta.
Monsieur le Président, nous savons que l'automne dernier, Bruce Carson a présenté sa fiancée au ministre de l'Environnement de l'époque, Jim Prentice, à l'ex-ministre des Ressources humaines, Monte Solberg, et même au premier ministre de l'Alberta.

In 1979, then prime minister Joe Clark from High River, Alberta, appointed the first Alberta woman to the Senate, our former colleague Martha Bielish.
En 1979, le premier ministre à l'époque, Joe Clark, de High River, en Alberta, nommait la première albertaine au Sénat, notre ancienne collègue Martha Bielish.

In 1975, then Alberta minister of health refused to fund private surgery clinics due to a lack of evidence of cost savings in a study that they did in comparison with public hospitals but allowed doctors to continue to bill surgical fees to the plan.
En 1975, suite aux résultats non concluants de l'étude comparative entre les cliniques privées et les hôpitaux publics, le ministre de la Santé de l'époque a refusé de subventionner les cliniques privées à défaut de preuve montrant une véritable économie de dépenses, mais il a permis aux médecins de continuer à facturer les frais d'opérations chirurgicales au régime d'assurance-maladie.