He dismisses reports alleging the use of torture of Afghan detainees, and when anyone dares to ask to see the facts, he hides behind the bogus claim of national security and then brands his critics as pro-Taliban.
Il balaie du revers de la main les rapports selon lesquels des détenus afghans seraient soumis à la torture. Lorsqu'on ose lui demander les faits, il invoque faussement la sécurité nationale et qualifie les gens qui le critiquent d'amis des talibans.