We already know how many people hold that the charter of rights adopted in 1982, without the consent of Quebec, constitutes a hindrance in the battle against organized crime, because in a bureaucratized state with a highly complex legal system there are fundamental guarantees, over and above sections 7 through 14 of the charter, which slow down the judiciary process.
En ce sens-là, on sait combien il s'est trouvé des gens pour dire que la Charte des droits de la personne, adoptée en 1982 sans le consentement du Québec, était un obstacle à la lutte au crime organisé parce que dans un État bureaucratisé et judiciarisé, il est certain qu'il y a des garanties fondamentales et judiciaires, en particulier les articles 7 à 14 de la Charte des droits de la personne, qui viennent entraver la célérité du processus judiciaire.