Turning to the proposals to replace the lost business and union donations within an equivalent, but likely greater, especially with the passage of time, infusion of taxpayer cash or, as it conveniently has been called, “public financing” I make the following observations.
Pour ce qui est des propositions visant à remplacer les dons des entreprises et des syndicats par une injection équivalente, mais probablement supérieure, surtout avec le temps, de deniers provenant des contribuables—ou, comme on l'appelle commodément, un «financement public»—, j'ai les observations suivantes à formuler.