This consideration led to policies which originally restricted total foreign ownership in major financial institutions to 25 per cent and, in the 1960's, to the encouragement of major Canadian life insurance companies to become mutual companies, so that they would not be subject to takeover by foreign insurance companies.
C’est ce qui a donné lieu aux politiques qui limitaient initialement la participation étrangère au capital des grandes institutions financières à 25 p. 100 et poussaient, dans les années 1960, les grandes compagnies d’assurance-vie canadiennes à se mutualiser pour éviter d’être rachetées par des sociétés étrangères.