Moreover, as Université de Moncton professor Kamel Khiari pointed out, in crimes such as this great upheaval that could be compared to the ethnic cleansing occurring these days, responsibility cannot be transferred to the successor state but remains in perpetuity with the predecessor state. If the predecessor state still exists, it is responsible for those crimes.
Par ailleurs, comme le signalait le professeur Kamel Khiari de l'Université de Moncton, des crimes comme ceux commis lors de la déportation, qui s'apparenteraient aujourd'hui à des crimes d'épuration ethnique, sont imprescriptibles et la responsabilité de ces crimes dans un contexte de succession d'États, ne peut être transférée à l'État successeur.