I remember during the Cuban missile crisis — as I wrote in a recent issue of the LRC — standing on the parade square at Camp Borden with our empty trucks behind us, our next mission to go and rescue the survivors of Toronto, including my parents, from the smoking ruins of that city after the crisis had run its course and wondering why the nuclear disarmament lobby had so strongly urged them to not build any protection for themselves, and why everyone in Toronto had taken that advice.
Je me souviens que pendant la crise des missiles de Cuba — comme je l'ai écrit dans un récent numéro de Litterary Review of Canada — je me trouvais sur le terrain de parade à Borden avec nos camions vides derrière nous, ayant pour mission de partir secourir les survivants de Toronto, où se trouvaient mes parents, pour les tirer des ruines fumantes de cette ville à l'expiration de la crise et je me souviens m'être demandé pourquoi le lobby pour le désarmement nucléaire les avait-il si fermement exhortés à ne pas se construire d'abris et pourquoi tout le monde avait suivi ce conseil.