Faced with this situation, the European Union has kept to its policy of sitting squarely on the fence between oppressor and oppressed and has confined itself to making statements and calling on beleaguered President Arafat to stop the intifada, which it calls terrorism, in order to stop the Israeli attacks.
Face à cette situation, l’Union européenne, s’en tenant à une politique de distances égales à l’égard du bourreau et de la victime, se borne à des constats et demande au président Arafat séquestré de mettre un terme à l’Intifada, quelle qualifie de terrorisme, pour qu’Israël cesse son agression.