Does the Commission fail to realise that the staunchest defenders of planting rights are the designations of origin – Rioja, in my case, for example – and that it is they who produce, sell and export the most wine and the best quality wine?
La Commission ne comprend-elle pas que les plus ardents défenseurs des droits de plantation sont les producteurs de vin à appellations d'origine – La Rioja, dans mon cas, par exemple – et que ce sont eux qui produisent, vendent et exportent le plus de vins et les vins de meilleure qualité?