According to a recent European Migration Network (EMN) ad-hoc enquiry,[8] some Member States have already started to use VIS data for return and readmission purposes and this seemed to have a positive impact both in terms of length of return procedures and rates of return.
D’après une récente enquête ad hoc sur le réseau européen des migrations (REM)[8], certains États membres ont déjà commencé à utiliser les données du VIS à des fins de retour et de réadmission, ce qui semble avoir eu une incidence positive tant sur la durée des procédures de retour que sur les taux de retour.