By the end of 2009, if this Prime Minister persists in his stance, the Senate would have at least 30 vacancies, not counting possible resignations or, heaven forbid, deaths in office.
D'ici la fin de 2009, si le premier ministre actuel ne revient pas sur sa position, il y aura au moins une trentaine de sièges vacants au Sénat, sans compter les démissions possibles ou, que Dieu nous en garde, les décès en service.