I am asking whether the people and the place where the solidarity movement began – the fall of the Berlin Wall, the liberation of Europe – must fall victim to arbitrary decisions taken in Brussels in the interests of speculators who are looking to make their fortunes out of the rubble and soil of the shipyards.
Je me pose la question de savoir si le peuple et le lieu où a commencé le mouvement «Solidarité» – et, partant, la chute du mur de Berlin et la libération de l’Europe, doivent devenir les victimes de décisions arbitraires prises à Bruxelles, dans l’intérêt de spéculateurs qui espèrent bâtir leurs fortunes sur les ruines des chantiers navals.